64- «Beauté de vie, sans fin»
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64- Beauté de vie sans fin
L’eau, le désert, la fleur du désert « La Femme ». Le centre de l’univers est la condition humaine, qui inclut les conditions inhumaines qu’elle s'efforce à dénoncer. La beauté de la vie nous appartient et il faut s’en approprier. Cette toile représente l’histoire vécue d’une jeune fille issue d’une famille nomade qui a su se libérer des principes de traditions familiales qui vont à l’encontre des besoins fondamentaux de l’être humain. Elle a dû traverser le désert toute seule à l’âge de douze ans pour se libérer des mœurs qui pesaient sur sa vie. La forme inscrite au henné sur ses bras et ses mains peut être effacée. La douleur de l’excision, la blessure du vol commis contre son corps et contre son gré restent gravés dans sa mémoire, troublée par ses maux, fait surface, et retrouve sa liberté. Une des qualités de cette œuvre est le regard hypnotique du sujet avec son visage angélique. La voile que porte la jeune femme est nul autre qu’un plan d’eau au sens réel et métaphorique. Elle a dû traverser des océans pour trouver sa liberté. |
64- Beauty of Endless Life
The water, the desert, the flower of the desert "The Woman". The center of the universe is the human condition, which includes the inhumane conditions it strives to expose. The beauty of life is ours and we have to make it our own. This painting represents the lived story of a young girl from a nomadic family who was able to free herself from the principles of family traditions that go against the basic needs of human beings. She had to cross the desert on her own at the age of twelve to break free from the mores that weighed on her life. The shape inscribed with henna on his arms and hands can be erased. The pain of the excision, the wound of the theft committed against her body and against her will remain etched in her memory, troubled by her ailments, surface, and regain her freedom. One of the qualities of this work is the hypnotic gaze of the subject with his angelic face. The veil that the young woman wears is none other than a body of water in the real and metaphorical sense. She had to cross oceans to find her freedom. |